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detoutetderien

posté le 23-03-2018 à 06:55:22

Mon premier chat

Ma vie c’est … les animaux. Lorsque j’avais 5 ou 6 ans, mes parents ont eu leur premier chat. Il s’appelait viki, on le surnomais « kiki ».  Il était castré et faisait bien  6 kg. Gentils tout plein.

Il était toujours avec moi lorsque je mangeais. Bon il faut dire que je lui donnais toujours un petit quelque chose. Je le cachais sous mon assiette, dès que mes parents avaient le dos tournés, hop, un morceau de viande ou de légume, hum, trop bon.

Il y a une fois, ou es parents le cherchais de partout, pendant 2 jours. Puis un voisin, est venu frappé à notre porte en expliquant qe le chat est à tel endroit et il ne marche plus.

Vétérinaire, il avait une patte de cassé. Quelques semaines après il s’en est remis.

Mon kiki, on l’avait emmené avec nous, dans le Doubs, il nous suivait quand on partait. Ma maman avait une copine, la bas, qui était présidente d’une association de majorettes.  Voilà que kiki était transformé avec un chapeau et une robe. Rassurez-vous, il n’était pas malheureux.

Il se faisait vieux, il est partie, nous ne l’avons jamais revu. Certains nous ont dis qu’il était aller mourir dans un coin.

Il a eu une belle vie, de l’amour et à manger.

La prochaine fois, je continuerais «  ma vie … l’amour des animaux »

 

 


Commentaires

 

1. Calie  le 23-03-2018 à 09:17:54  (site)

Bienvenue sur Vef et bonne continuation pour le blog Sourire

2. zyla  le 28-06-2018 à 13:10:47  (site)

bonjour, j'ai toujours eu des chats car je les aime!
à bientôt!

 
 
 
posté le 22-03-2018 à 22:32:15

Les gens

Avant

Qui a connu cette époque ?

Les hommes, la semaine,  partaient au travail, tandis que les femmes préparaient le repas, faisaient  le ménage, s’occupaient des enfants.Il n’y avait pas la télé, le téléphone, internet. Ensuite elle s’occupait de préparer le petit déjeuner pour les enfants, « cacao » que l’on cuisait et qui sentait bon. Ensuite il fallait réveiller  les enfants, avant de les préparer pour l’école. À l'époque c’était le poêle à bois. Je me souviens de la bonne odeur du pot-au-feu, qui embaumait la maison ou du »cacao ». 
Le poêle à bois, ne faisait pas que faire la cuisine, mais nous chauffait aussi. Les briques que l’on mettait dans le four, pour réchauffer le lit le soir. Nous n’avions pas de chambre attitrée, les frères et sœurs dormaient dans la même pièce. Les gouters c’étaient du pain avec des morceaux de sucre, quelquefois, du chocolat. La viande c’était 2 fois par semaine, les légumes étaient ramassés directement du jardin. On stockait les pommes de terre à la cave; Le réfrigérateur, avait un petit compartiment congelé, ou le reste des légumes étaient précuits et mais a congelé. On mangeait ce qu’il y avait, ce n'était ça ou rien, il n’était pas question de dire « j’aime pas ».

Les hommes travaillaient beaucoup, ils ne s’ennuyaient jamais, entre l’usine et le jardin, le bricolage. Les femmes c’étaient la lessive au lavoir, ou la lessiveuse, qu’elles mettaient sur le feu, pour les draps. Leurs vies n’ont pas toujours été faciles. Il n’y avait pas de machine à laver ou de « sèche-linge. ».Les dimanches, c’étaient repos. On allait rendre visite aux amis, faire une partie de cartes, avec une bouteille de rouge sur la table, pour les hommes.
Les enfants jouaient, les mamans, tricotaient, discutaient entre elles, tout en gardant un œil sur les bambins. 

Ils sortaient en toute sécurité, sans craindre de se faire agresser.

 Les enfants, à l’époque, jouaient avec des jeux fabrications maison.

Le seul jour où il y avait de vrais cadeaux, c’était Noël, les parents économisaient, pour une poupée de chiffons ou une petite voiture, le peu nous faisait plaisir.

Préparation de la dinde, des marrons, la messe de minuit. Le Noël en famille, c’était formidable, les crèches étaient belles. Noël était un moment de partage familial et amical. Souvent, des amis venaient manger à la maison.

À cette période, il y avait beaucoup d’entraide, entre voisins, on se rendait service sans rien demander en échange, il y avait cette solidarité que l’on ne peut même pas imaginer. 
On frappait à la porte du voisin, pour demander un peu de sucre ou de farine, qui de ce fait, nous invitait à boire une tasse de café.

Les jours de fête, comme par exemple le 14 juillet, il y avait les bals, de ce qu’on appelait, « les bals de campagne ». Bien sûr il y avait des bagarres, mais ce n’était pas les mêmes.

Les hommes invitaient les femmes à danser, ça finissait, le plus souvent, par des mariages.

Quand un homme voulait se marier, ils faillaient qu’ils aient le consentement des parents de la future épouse, oui ils demandaient « la main », c’était comme ça. Pas question de se marier, sans avoir été présenté aux parents. 

Les naissances se faisaient au domicile, très peu allaient en maternité. 
Certains enfants naissaient avant, comme ma maman, qui est née à 7 mois, ma grand-mère l’avait mise dans une boîte, sur la porte du four, c’est la réalité, avant il y avait pas de couveuse, les nourrissons, vivaient aussi longtemps qu’aujourd’hui. 

L’école, c’était les tabliers et le respect. Les coups de règle sur les doigts, si l’écolier faisait une bêtise, les parents n’allaient pas voir la maitresse, pour faire un scandale, au contraire, il se faisait punir en plus, à la maison. 

On allait au catéchisme et faisait notre communion. 

La bonne époque où les gens se rendaient service. Les gens ne jugeaient que par eux-mêmes, ils n’écoutaient pas les ragots, mais se faisaient une opinion des autres, sans se faire influencer. 

Mais où est passé cette époque ? Qu’est devenu ce monde sans cœur, rempli d’hypocrisie, de méchanceté. La vie d’aujourd’hui, c’est chacun pour soi.

Les femmes travaillent autant qu’un homme, plus le temps de s’occuper des enfants comme on le faisait, l’homme aide aux tâches ménagères, ce qui est bien, j’avoue. 

Les repas se font sur des plaques électriques ou des gazinières aux gaz.


Les poêles à bois ont été remplacés par des radiateurs. Les enfants veulent chacun leur chambre, avec le confort : télé, ordinateur, jeux vidéo. Internet, la télé.

 Les téléphones portables ont cassé la façon de vivre et ne voyons plus le voisin qui a besoin d’aide, qui n’ose plus frapper à la porte pour un morceau de sucre ou un peu de farine, de peur d’être insulté, de mal se faire voir. On ne se parle plus.

L’égalité n’existe plus, si tu n’as rien, tu es mis de coté, les gens sont insensibles à la misère des autres. 

On fait nos courses par internet, on ne prépare plus les repas, ils sont tout près.

 Les dimanches, c’est l’ordinateur.

 Les gouter c’est des biscuits de marque.

La viande tous les jours. Les légumes que l’on achète au supermarché, nous n’avons plus le choix.

Les enfants ne se contentent plus d’une petite voiture ou d’une poupée de chiffon, ils veulent être au top de la technique.

 Les parents ne les laissent plus sortir seuls, de peur de tomber sur des « malades mentaux ».

Les noëls, se passent rarement en famille, mais la fête entre amis, avec des dépenses phénoménales et la tradition se perd.

 Les fêtes c’est bagarre, à coups de couteau ou armes à feu, car en dansant, on a marché sur le pied de l’autre ou machinalement, on bouscule la copine. Tout est excuse pour se battre.

Il n’y a plus de respect, ni pour les parents, ni pour les « profs ». Si un élève se fait punir pour une raison justifiée, les parents vont faire un scandale en criant « ce n’est pas mon enfant qui a fait ça », alors que les preuves sont là.

C’est une autre époque, un autre monde.
 


Commentaires

 

1. MAXIE  le 24-03-2018 à 09:57:41  (site)

Bonjour
Bienvenue au club ! j'ai absolument connu ce mode de vie, la rigueur était présente mais jamais cela m'a chagriné ou empêché d'évoluer et d'adorer mes parents ..
Je te souhaite un bon week-end smiley_id117731

2. zyla  le 29-06-2018 à 18:19:38  (site)

Bonjour, oui la vie était différente! plus dure peut-être mais plus saine d'une certaine façon!

 
 
 
 

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